C’est une question d’ambitions. C’est même un choc d’ambitions. Pour Diouf Sarr, on dirait que les blessures des Locales ne sont pas guéries… Alors que Amadou reste imperturbable dans sa stratégie de rester sur la ligne de conduite présidentielle. Il est ambitieux, mais il n’est candidat en rien. Il attend le choix de Sall comme un militant discipliné. Aujourd’hui, ce n’est pas Bby qui se déchire. Mais, l’Apr où se mène une âpre bataille pour la succession du chef désormais prisonnier de son «ni-ni». Alors qu’il a le Nil à traverser.