Dans le cadre de la mobilisation de ressources pour financer le Plan de redressement économique et social (Pres) 2025-2028, le Premier ministre Ousmane Sonko a annoncé une batterie de mesures dont la «fiscalisation du mobile money, du transfert marchand». Laquelle mesure suscite déjà des inquiétudes et résistances chez les vendeurs et usagers, qui redoutent «une hausse des frais et un frein à l’inclusion financière», entre autres impacts négatifs.Devant se pencher sur cette nouvelle taxe ce lundi 15 septembre 2025 dans le cadre de l’examen du projet de loi modifiant certaines dispositions du Code général des impôts, du projet de loi portant Code des investissements et du projet de loi modifiant la loi n°2008-16 instituant une redevance ou l’utilisation du Réseau des télécommunications publiques (Rutel), des parlementaires ne manqueraient pas d’interpeller les autorités sur ces questions.Par Dialigué FAYE –

Transactions d’argent mobile : L’Optic appelle à ne pas expérimenter la nouvelle taxe

Un frein à l’inclusion financière

Lire la chronique – La taxation et ses effets

Une concertation nationale préconisée

Relance de l’économie, sortie contre le Fmi : LES BONDS DE SONKO À MILAN

Des cas d’échec

dialigue@lequotidien.sn