Au Burkina et au Congo ou au Mali, les dirigeants sont obligés d’appeler les citoyens à prendre les armes pour faire face au danger. Chez nous, on a des Forces de défense et de sécurité qui nous servent de frontières face au péril… Or, il est juste après Kayes. Autrement à quelques kilomètres. Avec la montée du populisme, tout ce qui est par contre sacré est désacralisé. Même si ce pays est divisé en proportions électoralistes, l’Armée, la Police et la Gendarmerie doivent être laissées en dehors de ce champ politique. Apparemment, le monde a changé…