Le football et le rap sont des ascenseurs sociaux proches, pour quelques élites de part et d’autre, parties de rien pour devenir des références internationales. Et pour certains de véritables machines à cash. Question notoriété, le ballon rond l’emporte si l’on prend pour fait, la taille des communautés sur le digital : Cristiano Ronaldo est la personnalité la plus suivie au monde, tous domaines confondus.
Par contre, au bilan sur la fiche de paie, mieux vaut composer et chanter que de taper dans la gonfle. Non pas que nos amis footballeurs soient à la ramasse, mais les écarts sont tout de même importants, entre les 10 rappeurs les plus riches du monde en 2020 et les 10 footballeurs.
Sur des données prises à Sportune, sur la plateforme spécialisée Celebrity Net Worth, entre les premiers de chaque catégorie, l’écart varie du simple au double.
C’est-à-dire que Cristiano Ronaldo domine le football, avec une fortune estimée proche de 460 millions de dollars, quand dans le rap, Jay-Z, auteur, compositeur, interprète… bref entrepreneur touche à tout à (gros) succès, est à la tête d’un patrimoine donné au milliard de dollars ! Ils sont trois, dans le top 10 à devancer financièrement CR7.
Par contre, les écarts se resserrent vers la base, car dans le foot le gâteau semble plus équitable entre tous, ou alors sont-ils plus nombreux à croquer à grandes bouchées dedans. Pour l’expliquer simplement, Lil Wayne, dixième au classement des rappeurs les plus riches cumule 150 millions de dollars et Andres Iniesta, au même rang chez les footballeurs, a une fortune estimée à 120 millions de dollars.
Notons que Beyoncé, épouse de Jay-Z, est déjà l’une des célébrités les plus riches et influentes de la planète ! Elle a presque doublé sa fortune (déjà estimée à 355 millions de dollars par Forbes), grâce à Uber. La superstar y est parvenue, simplement en animant une soirée d’entreprise. Comme quoi…