La quête d’un titre revient de plus en plus chère au Stade Rennais. Le club breton pousse ses efforts en ce sens et sa masse salariale est en constante augmentation. Au dernier pointage officiel, en 2016-17, elle s’élevait à 41,03 millions d’euros ; la neuvième plus chargée en Ligue 1. Cet exercice 2018-2019, sous l’effet notamment de l’arrivée de Hatem Ben Arfa, elle a naturellement augmenté.

Ben Arfa, le plus haut salaire de 2018-2019
Dans son enquête annuelle sur les salaires de la Ligue 1 publiée début février, le journal L’Equipe estime à près de 400 000 euros de salaire brut mensuel, la rémunération de l’ancien parisien. Avec les primes, il approcherait les 6 millions d’euros la saison, il n’a par contre, qu’une saison de contrat avec une autre en option. HBA touche quatre fois le salaire moyen estimé au Stade Rennais, cette saison 2018-2019. Il devance dans le vestiaire des Bretons, l’ancien lyonnais et guingampais, Clément Grenier, à un peu plus de 3 millions d’euros l’exercice, sans les primes.
L’attaquant M’Baye Niang complète le podium à 150 000 euros de salaire brut mensuel, dans son cas le Stade Rennais prend tout ou très grosse partie de son salaire au Torino, à qui il appartient. Enfin, le feu follet Ismaïla Sarr gagne près de 1,3 million d’euros la saison. Ce n’est pour lui qu’un début car de plus gros clubs que Rennes le suivent de près. On peut citer Arsenal. Un départ de l’international sénégalais n’est pas à exclure, cet été.
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