La dernière Coupe du monde à 32 équipes, avant le passage à 48 équipes en 2026, aura lieu au Qatar entre novembre et décembre 2022. La France, actuelle tenante du titre, aura la lourde tâche de défendre sa couronne dans un contexte de compétition plus élevé que jamais. Quant à l’Argentine, elle revit sous la direction de Messi et Scaloni et rêve aussi de la Coupe du monde. Le Brésil est toujours présent.
En tout cas, les favoris n’en manquent pas. Une Coupe du monde d’hiver est quelque chose que nous n’avons jamais vu auparavant. Et les sélectionneurs chargés de défier les probabilités et d’essayer d’aller jusqu’au bout dans des circonstances aussi inhabituelles auront certainement du pain sur la planche.
Il est donc logique que les 32 sélectionneurs qui seront sur le banc de touche au Qatar cet hiver reçoivent un salaire à la hauteur des attentes qu’ils suscitent. Nous savons tous à quel point les salaires des joueurs de football sont exagérés. Il n’est donc pas surprenant de constater que les salaires des sélectionneurs ne sont pas très différents. Finance Football a donc révélé les salaires annuels des 32 sélectionneurs pour la Coupe du monde 2022.
Sur le podium, on retrouve en tête le coach allemand, Hans-Dieter Flick, qui touche 6,5 millions d’euros par an. Il est suivi par Gareth Southgate de l’Angleterre (5,8 M) et Didier Deschamps de la France (3,8 M).

Quid des sélectionneurs qui dirigent les 5 équipes africaines au Qatar ?
Vahid Halilhodžić, coach du Maroc, arrive en tête du Top 5, avec un salaire annuel de 920 000 euros. Il est suivi par Chris Hughton du Ghana (400 000 euros) et Rigobert Song du Cameroun (340 000 euros). Aliou Cissé (Sénégal) et son collègue de la Tunisie ferment la marche de ce classement des 32. Le champion d’Afrique émarge à 310 000 euros par an et Jalel Kadri touche 130 000 euros.
A noter que l’ancien coach des Eléphants, Hervé Renard, avec l’Arabie Saoudite touche un salaire annuel conséquent d’1 million 100 mille euros.
Avec afriquesports