Un partenariat au service du développement. Telle est l’ambition de la convention qui a été officiellement lancée jeudi, entre Amsa assurances et la Chambre de commerce, d’industrie et d’agriculture de Ziguinchor (Cciaz). Les enjeux du partenariat sont, entre autres, d’accompagner la Cciaz dans sa dynamique de renforcement des entreprises de la région, de protection et de sécurisation des investissements au niveau de la région sud.
Pour le directeur du Réseau et du développement commercial d’Amsa assurances, il n’y a pas meilleur levier qu’une compagnie d’assurances pour assumer une telle responsabilité. Selon Babacar Diop, le choix n’a pas été fortuit. En effet, la Cciaz, dans sa quête et sa volonté de mieux satisfaire ses adhérents, a choisi de cheminer avec le groupe d’assurances Amsa. «Nous ne ménagerons aucun effort pour mettre à disposition de la Cciaz, toute notre expertise, notre expérience, notre savoir-faire pour que cet objectif ambitieux soit atteint», a promis M. Diop.
Pour ce faire, indique-t-il, sa compagnie envisage de concevoir des schémas de couverture sur mesure pour être adaptés aux réalités locales, aux spécificités et particularités de chacune des entreprises, selon son secteur d’activités. «Nous avons des modèles de contrats packages que nous allons retravailler pour les adapter davantage aux réalités de la zone. Ce qui fera que ces entreprises auront toute la sérénité requise pour exercer pleinement leurs activités et en cas de sinistre, qu’il y ait des compagnies qui soient là pour pouvoir injecter les fonds nécessaires à la relance de l’activité», a développé le directeur du Réseau et du développement commercial d’Amsa assurances. Cerise sur le gâteau, Amsa assurances envisage d’alléger le tarif pour qu’il soit un tarif préférentiel qui fasse que toutes les entreprises désireuses puissent se doter de telles couvertures indispensables à leur fonctionnement.
La sécurisation des métiers est la principale préoccupation de la Cciaz. «Aidez-nous. Cette région est belle, potentiellement riche, mais nous sommes pauvres, il faut nous aider à travers les financements», a insisté Jean-Bertrand Badiane, Secrétaire général de la Cciaz.