Est-ce l’effet de l’arbitrage vidéo, de l’évolution du ballon, de la qualité des tireurs ou seulement une série de coïncidences : jamais les buts sur coups pied arrêtés n’ont compté autant dans une Coupe du monde. Si on additionne les penalties, les coups francs directs et indirects et les buts sur corner, les phases arrêtées représentent 55 % des buts de la compétition après la première journée de poule. Selon les statistiques compilées par Opta, c’est sans commune mesure avec les standards de la compétition (entre 25 % et 35 %) et bien au-dessus du record de la Coupe du monde 1990, le tournoi le moins offensif de l’histoire (2,2 buts par match).