Test du 19 avril

Alioune Tine doit être malade, lui qui, le 23 juin 2011, avait été frappé dans sa chair. Il connaît le prix de la violence et ne cesse d’en appeler à la voix de la sagesse entre tous les protagonistes de ce qu’il serait convenu d’appeler «la question du parrainage». Malheureusement, il semblerait que M. Tine soit devenu comme Jean-Baptiste, une voix qui crie dans le désert. Tout le monde dans l’histoire donne l’envie de vouloir frotter ses muscles à ceux de l’adversaire, et la raison a déjà foutu le camp. Des charlatans auraient-ils prédit la victoire finale au camp qui ne ferait pas de concession ?