On est tous contents. On «riz» à gorges déployées, après l’entrée au panthéon de l’Unesco du Ceebu jën Penda Mbaye. Notre plat national ! Il a été toujours notre plan d’entrée dans le monde de la gastronomie, alors que nos mamans n’ont jamais été étoilées. Bravo à elles ! Mais, «Penda Mbaye» est morte depuis belle lurette. Elle a été tuée par des bouillons insipides, introduits dans nos marmites par des «cuisiniers» sans talent et qui mettent en latence notre cruelle fin.