La fraîcheur du climat semble avoir déteint sur l’humeur des individus. Les étudiants, qui semblaient décidés à mettre la ville à feu et faire couler le sang dans le pays, ont fini par se résoudre à écouter les autorités pour une solution de sortie de crise. Et nos dirigeants, animés au départ de la propension à enfermer tout ce qui ne pense pas comme eux, semblent aussi avoir retrouvé la voie de la raison. Le Quotidien s’en félicite, au vu de la relaxe de notre Administrateur général. Souhaitons que le vent frais de la sagesse continue de souffler pour la libération de tous les prisonniers politiques et la résolution de la situation économique.