Le Top départ n’est pas encore donné pour la campagne, mais on sait déjà que les faibles n’auront pas de place dans ces élections locales et municipales. Il suffit de voir, dans les listes des investis, comment les petits partis ont disparu au profit d’ensembles soi-disant plus représentatifs. Et ce n’est que naturel. Quand on est petit, sans moyens ni argent, on peut difficilement faire face à des machines rôdées. Et dans l’opposition, Sonko et Khalifa ont encore le goût de la revanche à la bouche, pour se laisser distraire par de petits alliés.