A l’Asecna, on est toujours en pleines turbulences. Entre la Direction générale et les contrôleurs aériens, rien ne semble pouvoir rapprocher les positions. Ce sont même de gros nuages qui ne cessent de se charger sur le ciel africain. A ce rythme, ça risque d’exploser si les autorités ne réussissent pas à dégager les menaces en aiguillonnant des négociations sérieuses. Lundi, un autre jour pourrait se lever et éloigner les mauvaises ondes avec la réunion des ministres chargés de l’Aviation civile.