Parlons même pas de tout ça pour le moment ! Beaucoup d’étudiants, en étant « hébergés » au sein du Campus social où la mobilité est sans frais et où la consommation journalière ne surpasse pas généralement les 250 Fcfa, ont parfois même du mal à se tenir dans une telle situation. La reprise des cours sans l’ouverture du Campus social n’est qu’un désir du gouvernement de sacrifier l’avenir de milliers de jeunes. Tout est chèr à la capitale, le logement, la nourriture … et pir, avec les problèmes d’embouteillage et de pollution sonore, certains se retrouveront dans une situation de ne pas pouvoir se donner à fond dans leurs études. Or, nous savons tous que le semestre est tellement court.
Parlons même pas de tout ça pour le moment ! Beaucoup d’étudiants, en étant « hébergés » au sein du Campus social où la mobilité est sans frais et où la consommation journalière ne surpasse pas généralement les 250 Fcfa, ont parfois même du mal à se tenir dans une telle situation. La reprise des cours sans l’ouverture du Campus social n’est qu’un désir du gouvernement de sacrifier l’avenir de milliers de jeunes. Tout est chèr à la capitale, le logement, la nourriture … et pir, avec les problèmes d’embouteillage et de pollution sonore, certains se retrouveront dans une situation de ne pas pouvoir se donner à fond dans leurs études. Or, nous savons tous que le semestre est tellement court.