Ce n’est pas autant que voulu, mais la Compagnie sucrière ne pourra pas faire la fine bouche. Malgré la longue campagne de diabolisation, les conseillers ruraux ont fini par accéder au souhait de l’industriel, et lui ont offert un bâton de sucre sous forme de terres cultivables. La Css n’a donc plus de prétexte pour ne pas tenir ses engagements. Le Quotidien parlait hier du vœu de voir Diomaye agir comme César et lever tous les obstacles au développement industriel du pays. Espérons en avoir vu hier la première étape.
Par Sucré-Salé