Le bureau de la convention des jeunes reporters de la zone Sud-Est regroupant les régions de Tamba­counda et de Kédougou a été renouvelé ce samedi. Et, c’est une équipe de 4 membres en plus de 2 coordonnateurs du côté de chaque région qui a été mise en place. Le confrère de la radio privée Rfm, Moussa Omar Guèye, a été désigné pour diriger la structure.

C’est ce samedi qu’il a été procédé au renouvellement du bureau de la Cjrs de la zone Sud-Est. Près d’une quarantaine de membres ont répondu à l’appel. Moussa Omar Guèye de la radio privée Rfm a été porté à la tête de la convention pour remplacer Alassane Diallo, le président sortant. C’est à l’unanimité des membres que M. Guèye a été choisi pour présider aux destinées de la structure dans la zone Sud-Est, après que son challenger et correspondant du journal L’Observateur, Pape Ousseynou Diallo, a retiré sa candidature suite à des négociations. A côté de Moussa Omar Guèye, il y aura Amadou Diallo de la Rdv comme Trésorier général, Ibrahima Diébakhaté, correspondant du journal Le Quotidien à Kédougou pour assurer le Secrétariat général et Sokhna Diom de l’Aps comme chargée de la communication.
Installé dans ses nouvelles fonctions de président de la Cjrs/Zone Sud-Est, par la délégation nationale, Moussa Omar Guèye a d’entrée mis le focus sur la formation, exhortant du coup les confrères à se faire former. «Mettons-y la peine qu’il faut cependant, faisons nous former pour nous légitimer et nous légaliser», a plaidé le nouvel élu. «La lutte pour la formation des confrères sera inscrit en lettres capitales dans son carnet de bord», promet-il, avant d’appeler à une synergie d’actions pour réussir la mission qui est celle de tous.
Auparavant, les confrères ont exprimé à la délégation nationale leur volonté de voir la structure-mère changer de méthode de travail. «Nous des régions, nous ne sommes associés à rien», ont laissé entendre la quasi-totalité des intervenants. «Il ne faut pas que l’action de convention se limite seulement à trouver des bourses de formation aux confrères. La formation continue doit aussi être une de leurs priorités», assénaient les pisses-copies qui ont aussi demandé une meilleure implication des régions dans la prise de décision.
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