Le mois de juillet approche et les différents protagonistes préparent chacun à sa manière les élections législatives. Pour Macky Sall, c’est simple. Mettant à profit les avantages du pouvoir, il peut se permettre de distribuer des sucettes, comme la baisse du prix de l’électricité, et en attendre un bonus électoral. Les partis de la parole, eux, auront intérêt à se bouger et ne pas se contenter de battre campagne contre le ministre de l’Intérieur. D’autant que Khalifa Sall a voulu prendre de la vitesse, en cherchant à étendre son And Taxawu à tout le pays. Mais un Ps divisé peut-il espérer autre chose que des plus forts restes ? Surtout avec un braillard comme Dias-fils pour le plomber face aux électeurs ?