La Can est la seule compétition au monde qui joue chaque deux ans sa crédibilité. On a mis la Caf sous tutelle de la Fifa, Infantino a imposé son homme aux autres prétendants obligés d’accepter un gentleman agreement afin d’éviter une expulsion des instances de décision. A moins d’un mois de la Can, aucun dirigeant n’est certain que la balle va rouler sur les près camerounais. C’est le résumé de la situation. C’est la faillite d’un système de parrainage, qui maintient l’élite en position de hors-jeu sur les sujets importants. Et, elle s’en «foot»…