On peut poursuivre avec AstraZeneca qui n’est plus un cas préoccupant pour les sommités scientifiques. On aurait eu un grand coup sur le moral parce qu’on aurait eu du mal à payer le coût de sa suspension. Laissée en rade à cause du nationalisme vaccinal, l’Afrique a encore du mal à assurer son indépendance scientifique. Dans tous les secteurs, c’est la même chanson : le continent n’arrive pas à décontaminer sa dépendance.