La fermeture des bureaux du Cored est une suite logique de la mort des entreprises de presse orchestrée et assumée par le régime de Pastef. Qui doit être naïf ? L’une des premières mesures prises par le Premier ministre à sa nomination a été le gel des conventions, de la publicité et des créances que l’Etat doit aux entreprises de presse. Et le blocage en toute illégalité du Fonds d’appui alors qu’il figurait dans le budget 2024 dont ils ont hérité. Il s’en est suivi le recensement des médias dits conformes. Les plus ingénus avaient cru que le malheur des uns ferait leur bonheur, montrant une division d’une corporation qui se bat en rangs dispersés.