L’encre des stylos ayant signé le Pacte de stabilité sociale n’a pas encore séché que des voix discordantes se lèvent, cassant le consensus. Exactement ce que le gouvernement, le Premier ministre en tête, voulait éviter. A quoi sert-il d’obtenir l’accord de tous s’il y a des minorités agissantes, décidées à rallumer des feux au front, aussitôt les premiers éteints ? Cela rappelle ce politicien qui pensait pouvoir «réduire (son) opposition à sa plus simple expression». Il n’a fait que baliser la voie à de nouveaux contestataires. On peut croire que ce sera le sort des initiateurs de «notre» pacte.
Par Sucré-Salé