Le festival n’a pas encore payé. Il a voulu nous donner un montant modique de 500 mille (francs Cfa) que nous le lui avons retourné pour une dette qui s’élève à presque 10 millions. Nous le lui avions retourné avec une lettre bien motivée à l’appui. Ils sont revenus se rapprocher du ministère pour nous proposer la négociation d’un second moratoire avec un montant que je vais tenir secret, en attendant que nous en soyons sûrs. Maintenant si c’était le cas et que nous acceptons ce moratoire, il faudrait qu’il y ait à la base un protocole d’accord bien ficelé et pour lequel ils s’engagent à respecter les échéances».