On nous a toujours rattrapés par nos inconséquences. Après les affrontements terribles, qui ont jeté l’Ucad, dont la devise est «La lumière est ma loi», dans l’obscurité, l’ex-étudiant Ibrahima Diémé a été enterré après avoir succombé à ses blessures. Au lieu de soigner les maux, on a préféré à l’époque panser les blessures avec des mots tout en pensant que cela aurait suffi pour calmer les blessures cuisantes. C’est le volet pénal de l’affaire qui va s’ouvrir plongeant encore et toujours l’Ucad dans l’obscurantisme. Que la loi s’applique….