Parmi les nombreuses personnes qui élèvent aujourd’hui la voix pour s’offusquer de la déliquescence de l’Ecole sénégalaise, il y a celles qui n’ont pas levé le petit doigt pour stopper l’engrenage de la décadence. Celles qui, par leurs actions ou inactions, ont contribué à dégoûter jusqu’aux acteurs de l’Ecole. Notre attitude face à l’école publique est la même que face à nos malades. On ne les soigne pas, mais on leur organise des grandioses funérailles. Pour l’école, à ce rythme, c’est très bientôt le Requiem !