El Hadji Ibrahima Sall soutient Macky : «je me rends compte que nous courrons des risques»

Il était lui aussi au congrès d’investiture du Président sortant, samedi, au Dakar Arena. Mais pas seulement pour cela. El Hadji Ibrahima Sall, au même titre que Jean Paul Dias qui est rentré à la «maison» Bby, et Abdoulaye Baldé qui a rejoint la mouvance présidentielle, a décidé de soutenir le candidat Macky Sall. «Si j’avais eu un candidat qui assurerait la continuité de l’Etat et dont je suis sûr qu’il ne ferait pas de règlement de comptes, j’aurais comparé les programmes. Seulement, ce que je vois aujourd’hui, ce n’est pas tout à fait cela. Quand j’entends les propositions et les solutions qui sont faites, je me rends compte que nous courrons des risques», a dit le leader de Demain la République à l’émission le «Jury du dimanche» d’E-radio. Mais pas que, puisque l’ancien ministre du Plan dans le gouvernement de Loum attribue des notes positives au régime de Macky Sall. «Il a fait un mandat de redressement sur lequel il y a eu des choses très claires. Par exemple, depuis 40 ans, sur le plan économique, on n’a jamais eu 5 ans successifs de taux de croissance supérieur à 6%. Ça, c’est un fait et c’est intéressant. Et puis, il y a eu aussi des problèmes qui n’ont pas été réglés depuis 60 ans et qui l’ont été aujourd’hui. Ensuite, il y a la connexité de nos territoires : Désormais, on pourra quitter Kaolack, aller en Casamance, en passant par un pont. C’est aussi important. La pose de la première pierre du pont de Rosso sera faite dans deux ou trois semaines. Donc, ce sont là des problèmes qui étaient là depuis 1960», a-t-il noté.
Dans les relations économiques et diplomatiques aussi, M. Sall ajoute «la volonté de décoloniser économiquement notre pays», soulignant la visite du Président chinois au Sénégal, «un pays qui était considéré comme le prototype du pré carré français» et la présidence du Forum Chine-Afrique par Macky Sall. «De Diouf, en passant par Wade jusqu’à Senghor, c’était inimaginable», estime-t-il. Même s’il émet des «réserves» sur la réforme de l’Etat.
hamath@lequotidien.sn
3 Comments
Je me rends compte q’il n’est point besoin d’être professeur d’université dans plusieurs universités dont américaines pour pouvoir convaincre, encore moins développer des arguments intellectuellement acceptables! Je ne juge pas les faits, c’est à dire la décision de Sall de rallier Macky, mais les « arguments pauvres » qu’il développent d’un niveau scolaire ou « politicien en apprentissage ».
Certains candidats ont fait de meilleures propositions que le PR actuel, mais qui, dans le discours font penser qu’il y’aura règlement de compte. D’autres n’ont jamais fait allusion à cela.
En retournant au Sénégal, ce gars pensait qu’il serait au dessus du lot. M. SALL, le Sénégal est plein de « cerveaux ».La plupart des professeurs ou maîtres de conférence sont moins pertinents que leurs assistants. REVEILLE-TOI
Je me rends compte q’il n’est point besoin d’être professeur d’université dans plusieurs universités dont américaines pour pouvoir convaincre, encore moins développer des arguments intellectuellement acceptables! Je ne juge pas les faits, c’est à dire la décision de Sall de rallier Macky, mais les « arguments pauvres » qu’il développent d’un niveau scolaire ou « politicien en apprentissage ».
Certains candidats ont fait de meilleures propositions que le PR actuel, mais qui, dans le discours font penser qu’il y’aura règlement de compte. D’autres n’ont jamais fait allusion à cela.
En retournant au Sénégal, ce gars pensait qu’il serait au dessus du lot. M. SALL, le Sénégal est plein de « cerveaux ».La plupart des professeurs ou maîtres de conférence sont moins pertinents que leurs assistants. REVEILLE-TOI
Je me rends compte q’il n’est point besoin d’être professeur d’université dans plusieurs universités dont américaines pour pouvoir convaincre, encore moins développer des arguments intellectuellement acceptables! Je ne juge pas les faits, c’est à dire la décision de Sall de rallier Macky, mais les « arguments pauvres » qu’il développent d’un niveau scolaire ou « politicien en apprentissage ».
Certains candidats ont fait de meilleures propositions que le PR actuel, mais qui, dans le discours font penser qu’il y’aura règlement de compte. D’autres n’ont jamais fait allusion à cela.
En retournant au Sénégal, ce gars pensait qu’il serait au dessus du lot. M. SALL, le Sénégal est plein de « cerveaux ».La plupart des professeurs ou maîtres de conférence sont moins pertinents que leurs assistants. REVEILLE-TOI