Dans les ménages, on ne «riz» plus. Le coût du sucre est salé. Les citoyens sont roulés dans la farine. L’Etat taxe les commerçants de gourmands. Conséquence : les rapports entre acteurs ne sont plus si huilés. Et il paraît que même le pot de thon est en hausse. C’est pourquoi Noo lank aussi hausse le ton. Le pouvoir a intérêt à rendre ces denrées alimentaires. Dans un contexte de pandémie, d’inondations et de cherté de la vie, c’est la marmite sociale qui va bouillir pour le pouvoir.