On dit que vous êtes la mémoire du cinéma africain. Comment l’avez-vous découvert ?Et vous êtes tombée amou­reuse de ce cinéma ?Et ainsi c’est devenu comme une passion ?C’était qui le premier cinéaste africain que vous avez interviewé ?Pourquoi cette censure ?Et donc cette première interview avec Sembène a été le déclic pour vous intéresser au cinéma africain ?Pour les jeunes qui n’ont pas eu la chance de vous suivre à la radio, dites-nous à quoi ressemblait votre émis­sion sur le cinéma à Rfi…A part Sembène Ousmane, vous étiez également très amie avec Djibril Diop Mambéty. Qu’est-ce que vous retenez de l’homme ?Vous aimez le cinéma et le cinéma vous a également fait rencontrer l’amour… ?Vous avez vu beaucoup de films africains. Et de tous ces films, lequel vous a le plus marquée ? Pourtant, le cinéma africain peine à se faire une place…Lorsque vous jetez un regard sur le cinéma d’hier, des années 70, et celui d’aujourd’hui, quelle appréciation faites-vous ?Le patrimoine cinématographique africain pose un véritable problème. Que faut-il faire pour que les œuvres d’Afrique reviennent ? Pour vous, avoir des salles de cinéma est donc le plus important ?