La Chambre criminelle vidait les dossiers terroristes, qui se sont amoncelés ces dernières années. Laquelle a acquitté l’imam Boubacar Dianko alors que le Parquet avait requis la prison à perpétuité à son encontre. Boubacar Dianko comparaissait pour association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste, atteinte à la sûreté de l’Etat et acte terroriste. Il a été interpellé en 2013 à Kédougou par les agents de renseignements généraux ainsi que l’un de ses neveux, Cheikh. Il lui a été reproché d’être en contact aussi avec l’émir du Mujao (Mouvement unitaire du jihad en Afrique de l’Ouest). Même s’il a assumé cette amitié lors du procès, l’imam a tenu à préciser qu’il ne savait pas qu’il est un djihadiste.