La justice sénégalaise devra trancher si Ousmane Sonko a été ou non en mesure de contrôler ses pulsions devant celle qui l’accuse. En attendant, on peut remarquer que ses partisans, eux, n’hésitent pas à se lâcher sur les réseaux sociaux contre tous ceux qui questionnent les qualités de leur Leader maximo. La politique de la terreur a fait son œuvre avec les organisations féministes qui se sont toutes terrées. Alors, on veut reprendre les mêmes méthodes avec les journalistes. Ce qui n’est pas une première chez Sonko. On se rappelle la nuit du 24 février 2019 contre les médias coupables de donner les «mauvais résultats» de la Présidentielle.