Après le 19 avril qu’il n’a pas pu célébrer, Idrissa Seck a créé un 20 avril en ameutant toute la presse chez lui, au Point E. Le leader de Rewmi a usé de tirs Seck et Sall(i) Macky qu’il accuse d’être un «triple violeur de la Constitution». C’était sa séance de débriefing. Malick, qui a aussi pris des (Ga)coups, comme Thierno qui a Bocoum souffert et le Y’en a marriste qui avait lâché un mot indigne d’un Kilifeu ont tous été libérés au petit matin. Tous ont gazé Macky qu’ils désignent comme le parrain de leurs déboires.