Sur les réseaux sociaux, les militants débusquent leurs ennemis dans leurs rangs. Comme une traque ou une purge interne sur la «Pasteftosphère». Par exemple, Ousseynou Ly, l’un des responsables du parti les plus en vue du temps des vaches maigres, est pris depuis deux semaines dans un tourbillon de critiques pour avoir souhaité tardivement «joyeux anniversaire» au «guide suprême de la révolution sénégalaise». Oubliant même que Diomaye a été élu grâce au suffrage universel un soir du 24 mars 2024. C’est la nuit des longs couteaux avec même des alliés pris pour cible.