La Falémé est polluée par les exploitants aurifères. Le long de ce fleuve qui sert de frontière naturelle entre le Sénégal et le Mali, les trafiquants chinois et les orpailleurs traditionnels y ont élu domicile, plongeant les villages de Moussala et Mahinamine dans une détresse incroyable : l’eau n’est plus potable, les périmètres maraîchers s’assèchent. Alors que 600 sites clandestins sont recensés dans la zone.