Le foncier au Sénégal est un véritable nid de serpents, dans lequel même les pouvoirs publics ont peur de plonger les doigts. Malheureusement, en jouant souvent le pourrissement, comme ce qui se passe actuellement à Ndingler, on finit par provoquer une escalade dont personne ne sait où elle va nous mener. L’investisseur dans la zone, a trouvé le moyen d’opposer les paysans entre eux, ce qui fait que même s’il se retirait aujourd’hui de la zone, les champs resteraient minés, corrompus par une guerre intestine larvée. La faute à qui ?