Les réformes politiques introduites à la suite du référendum de mars 2016 n’avaient pas que pour but de faire faire au pays de grandes avancées démocratiques ; il est évident qu’elles auront aussi permis, par la création d’institutions nouvelles, de caser une importante clientèle politique. Le seul ennui est que si l’on introduit des textes pour satisfaire un groupe de gens, on n’est jamais sûr de n’oublier personne. La dernière preuve, par le nombre de députés de l’Assemblée nationale. De 150, ils devaient d’abord passer à 160. Or, voilà qu’hier, on apprend qu’il a fallu en ajouter 5 autres. Sans aucune explication ni justification…