Plus de 200 morts lors du bombardement d’un hôpital de Gaza. Des personnes qui tentaient de sortir de Gaza par la frontière sud, tel que fortement recommandé par l’Armée israélienne, prises pour cibles. Et le «monde» parle de conflit, au lieu de dénoncer le massacre. Les forces en présence sont trop inégales pour parler de conflit. Que tous ceux qui pérorent pour savoir s’il faut ou non traiter le Hamas de groupe terroriste au lieu d’arrêter le bras de Netanyahu, ne viennent pas nous afficher leur peine pour les vies innocentes fauchées par le terrorisme.