Les pressions n’ont pas changé grand-chose. Les cours resteront en virtuel à l’Ucad malgré la colère du Saes et des étudiants. Le coût du saccage des infrastructures de l’Ucad au mois de juin va être payé sur le long terme. Pour les étudiants, c’est une formation au rabais, des années universitaires qui se chevauchent et ne finissent jamais. Jadis Temple du savoir, l’Ucad a perdu le goût du «Lux» à cause des pratiques qui relèvent d’une autre époque. Il est temps de faire front pour que la lumière illumine les campus.