Hélas, l’exemple vient d’en haut. Combien de fois a-t-on vu le Président de la République, main dans la main avec ce fou de Kara ? Ne savait-il pas, lui qu’on dit la personne la plus renseignée du pays, le caractère de l’homme ? Au-delà de la séparation des pouvoirs, qui n’existe pas dans l’état islamique du Sénégal, cela pose la question du manque de jugement de ceux qui nous gouvernent. En entretenant cette relation de proximité avec Kara, le Chef de l’Etat fait un pied de nez aux Sénégalais. Il faut dire qu’ils commencent à faire légion : maintien du CESE et l’augmentation récente des indemnités alors la presque totalité des Sénégalais considèrent cette organisation inutile et non souhaitée, survol des zones inondées, en route pour un banal sommet de la CEDEAO, alors que des femmes ahanaient contre la montée des eux, des enfants à la recherche d’un bout de pain, le tout dans la puanteur fétide de quartiers qui, en temps normal ne sont déjà pas des exemples d’hygiène. Ce qui se passe est la conséquence malheureuse de ce que célèbrent certains analystes (ref Cheikh Yerim Seck complètement en adoration dans Jaakarlo: il faut dire qu’il est très très fort Macky Sall en politique). Le pays n’a pas besoin de forts en manœuvre politique. Il a besoin de dirigeants capable de créer des emplois, d’industrialiser le pays, de gérer les maigres ressources de l’Etat de façon éthique et efficiente. On parle de Kara aujourd’hui. On pourrait parler de marabouts qui enchainent, quand ils ne les violent pas, de jeunes enfants sous prétexte de les discipliner, et qui sortent de leurs procès avec un sursis (bon allez on oublie !). Et comment oublier tous ces marabouts et leurs disciples qui vendent des médicaments dans les rues et marches du pays, aux risques et périls de la population. Dans ces cas, comme dans d’autres, l’Etat ne s’est pas juste agenouillé, il est à plat ventre, pour que les marabouts et leurs disciples lui marchent, de tout leur poids, sur le dos. Sur toutes les échelles ou on mesure le caractère d’une République, cet état est un embarras. Ce pays n’est une démocratie, un état de droit ou une république laïque, que par le nom. Un état peureux et lâche quand il s’agit de défendre les femmes, les enfants et ceux-là en cage dans les geôles de Kara. Serigne Kara n’a cependant rien à craindre. La jurisprudence ‘Bethio’ est de son bord. La surprise, ce serait qu’on ne l’élève pas officiellement, un de ces jours, au rang de General d’honneur de l’armée avec solde et indemnités. Cet état en est fort capable. Heureusement que nous faisons partie des 25 pays les plus riches au monde…
Ça c’est du vrai Madiambal comme je l’aime. Courageux, pertinent, et objectif. On peut ne pas t’aimer, mais tu es le dernier rempart sur qui bcp comptent pour sauver ce qui reste du journalisme d’opinions. Tes chroniques hebdomadaires sont attendues par tous, alors Madiambal de grâce reste ce bouclier extrément rare qui nous sauvera des dérives de cette bourgeoisie maraboutique et de cette race de politiciens corrompus.
Merci d’avoir osé dire ce que bcp pensent et malheureusement ont peur de dénoncer.
Hypocrisie quant tu nous tiens!
Modou n’est pas du tout un exemple !
Inadmissible comme acte humain au nom de quoi!
L’état politicien a failli
Hélas, l’exemple vient d’en haut. Combien de fois a-t-on vu le Président de la République, main dans la main avec ce fou de Kara ? Ne savait-il pas, lui qu’on dit la personne la plus renseignée du pays, le caractère de l’homme ? Au-delà de la séparation des pouvoirs, qui n’existe pas dans l’état islamique du Sénégal, cela pose la question du manque de jugement de ceux qui nous gouvernent. En entretenant cette relation de proximité avec Kara, le Chef de l’Etat fait un pied de nez aux Sénégalais. Il faut dire qu’ils commencent à faire légion : maintien du CESE et l’augmentation récente des indemnités alors la presque totalité des Sénégalais considèrent cette organisation inutile et non souhaitée, survol des zones inondées, en route pour un banal sommet de la CEDEAO, alors que des femmes ahanaient contre la montée des eux, des enfants à la recherche d’un bout de pain, le tout dans la puanteur fétide de quartiers qui, en temps normal ne sont déjà pas des exemples d’hygiène. Ce qui se passe est la conséquence malheureuse de ce que célèbrent certains analystes (ref Cheikh Yerim Seck complètement en adoration dans Jaakarlo: il faut dire qu’il est très très fort Macky Sall en politique). Le pays n’a pas besoin de forts en manœuvre politique. Il a besoin de dirigeants capable de créer des emplois, d’industrialiser le pays, de gérer les maigres ressources de l’Etat de façon éthique et efficiente. On parle de Kara aujourd’hui. On pourrait parler de marabouts qui enchainent, quand ils ne les violent pas, de jeunes enfants sous prétexte de les discipliner, et qui sortent de leurs procès avec un sursis (bon allez on oublie !). Et comment oublier tous ces marabouts et leurs disciples qui vendent des médicaments dans les rues et marches du pays, aux risques et périls de la population. Dans ces cas, comme dans d’autres, l’Etat ne s’est pas juste agenouillé, il est à plat ventre, pour que les marabouts et leurs disciples lui marchent, de tout leur poids, sur le dos. Sur toutes les échelles ou on mesure le caractère d’une République, cet état est un embarras. Ce pays n’est une démocratie, un état de droit ou une république laïque, que par le nom. Un état peureux et lâche quand il s’agit de défendre les femmes, les enfants et ceux-là en cage dans les geôles de Kara. Serigne Kara n’a cependant rien à craindre. La jurisprudence ‘Bethio’ est de son bord. La surprise, ce serait qu’on ne l’élève pas officiellement, un de ces jours, au rang de General d’honneur de l’armée avec solde et indemnités. Cet état en est fort capable. Heureusement que nous faisons partie des 25 pays les plus riches au monde…
Ça c’est du vrai Madiambal comme je l’aime. Courageux, pertinent, et objectif. On peut ne pas t’aimer, mais tu es le dernier rempart sur qui bcp comptent pour sauver ce qui reste du journalisme d’opinions. Tes chroniques hebdomadaires sont attendues par tous, alors Madiambal de grâce reste ce bouclier extrément rare qui nous sauvera des dérives de cette bourgeoisie maraboutique et de cette race de politiciens corrompus.
Merci d’avoir osé dire ce que bcp pensent et malheureusement ont peur de dénoncer.
Hypocrisie quant tu nous tiens!
Pertinente analyse et vérité crue, vous avez osé et convaincu Mr Madiambal. Ne vous l’assez jamais d’écrire sur les tares de cette société. Merci
Ah oui,
Tous nos encouragements. La tache n’est pas facile mais il faut persévérer du moment qu’il y a une crise d’autorité étatique dans ce pays.