Aveuglé par les guirlandes de la ville de Dakar, Massokhna en oublie la mort du service d’hygiène. Aujourd’hui dans Dakar et l’arrière-pays, les humains cohabitent avec toutes sortes d’éléments nuisibles. En plus des moustiques, les chiens errants et les chats font maintenant partie du décor. Ils ont été rejoints depuis des années, par les souris et les rats, qui parfois sont si gros que même les chiens en ont peur. Un environnement propice aux maladies, susceptibles de virer en épidémie. Le consumériste Massokhna Kane qui fustige le manque de moyens des hôpitaux, devrait aussi parler de l’hygiène des villes, qui permettrait d’éviter des maladies.
Par Sucré-Salé