Aïe, que c’est difficile à supporter ! Des centaines d’âmes qui, pourtant, ont su résister ou, en tout cas, ont eu la chance d’échapper au très létal coronavirus, meurent dans les eaux. Au fond, comment expliquer que même ceux qui étaient parmi les mieux «lotis» risquent cette aventure. La thèse du chômage est bien évidemment une explication. Mais il faudra en chercher d’autres. C’est le naufrage de l’espoir. Mais on ne peut noyer notre merr (colère) dans la mer !